Ezios Auditore-Corleone Da Firenze, Italien, et fier.

Un jour comme les autres. Quoi que, soyons fou, et soyons honnête, le voilà qui stresse un peu : une sensation louche dans l'estomac, les mains qui n'arrive même pas, ou difficilement les rennes de sa monture. Aurait-il peur ? Le Auditore a peur, une chose qu'il n'a pas souvent. Heureusement que Nine, sa cousin n'est pas présente, sinon elle se serait déjà moquer de lui.

l'épée à la ceinture, une dague de l'autre côté, un tabars à la couleur de sa branche. (vert et noir), sans armure. tout de même son écus dans son dos au cas ou !

Les sabots de "guerre" faisait "clap clap clap" sur le sol, il caresse doucement la crinière de guerre, nom mythique puisque c'est l'un des chevaux de l’apocalypse !

Regardant la maison, il ne savait pas bien à quoi ressemblait cette perle saintanaise... Mais surement la reconnaitra t-il a la première vu !

Ne préfèrent pas s'annoncer, pour qu'on le vois.. En même temps on va pas le raté lui !

Messages : 36 Date d'inscription : 08/04/2012

Je me préparais dans ma chambre, terminant se fignoler mon apparence.
Je m'étais lavée peu avant, et avais soigneusement brossé mes cheveux.
J'avais enfilé mes sous-vêtements, une chemise blanche, une jupe à taille haute rayée blanche et bleue ceinturée largement de cuir brun.
J'entendis alors des bruits de sabots dans la rue.

J'ouvris la fenêtre de ma chambre qui donnait sur l'Avenue.
Une silhouette montée sur un grand cheval se tenait face à la maison.

Ezios?

Je sortis mes épaules au dehors, appuyée sur mes mains contre le rebord de la fenêtre.
Mes cheveux blonds comme le blé doré au soleil tombèrent de mes épaules vers le devant de mon corps et la légère brise les agita.

Allez donc vous présenter à l'entrée!

Je lui souris puis refermai la fenêtre, avant de descendre en bas.
Je m'assis dans le salon.
Attendant le moment M...

Des bruits de sabots se faisaient entendre dans la ruelle.
Mylandra s'approcha de la fenêtre pour observer.C'est alors qu'elle put apercevoir un cavalier armé jusqu'au dents.
Fronçant les sourcils, elle jeta un œil à son arbalète qu'elle avait accrocher au dessus de la cheminée avec l'écusson de son armée.
Puis se souvenant de la discussion qu'elle eut avec sa fille, la veille en taverne.

Un soupir, sa fille lui avait bien caché ça. Elle ne voulait que son bonheur mais de la à la prendre au dépourvue.
La voix étouffé de Noéllia provenant de sa chambre à l'étage vint jusque ses oreilles.
Ensuite elle dévala l'escalier pour venir s'installer dans le fauteuil du salon.
Elle était éblouissante, pendant un instant elle lui faisait penser à elle lorsqu'elle était jeune et inconsciente, comme elle aujourd'hui.
Mais de l'eau à couler sous les ponts, et Mylandra se devait de protéger ses enfants.
C'est pourquoi elle n'aurait aucune pitié pour cette homme.
Normal, instinct maternelle dirons-nous.

Bras croisé et restant toujours sur le coté de la fenêtre, elle ouvrit la bouche.

Occupe toi de Mya, j'irai lui ouvrir la porte s'il daigne descendre de son cheval.

Un sourire qui se voulait rassurant mais... Cela se voyait qu'elle se voulait prudente.

Une rêverie ce pose rapidement sur ses pensés. Celle de ce qui se passe actuellement dans sa famille, les discutions qui prennent de l’ampleur. A propos de ce qu'il demande à chaque conseil. La remise de la couronne vicomtale familial, ainsi que d'être le chef de famille. Étant le plus vieux, et le plus juste... Mais une voix féminine vint le tiré de cela, il tourna la tête dans la direction due, et resta bouche béé..

Si, c'est moi..

Était-ce un ange ? Surement, mais son instinct lui disait qui elle était, Noéllia... Il sourit, comme à son habitude. Il souriait tout le temps, même quand il était en colère !

Bien, je vais donc y aller de suite !

Il posa pied avec grâce à terre, puis trouva un endroit ou attacher guerre, en se dirigeant ensuite vers la porte de la maison. Son poing heurtant la porte afin de frapper pour demander à entrer...

Invité

Il était au lit encore à cette heure, se reposant toute fois de la longue marche.
Il fessait silence dans sa chambre et même dans la ruelle en face de chez eux.
Il se retourna dans son lit, quand il entendis un cheval galopant dans la rue.
Tss .. Fichtre ... Qui traîne encore du pieds.
Il ouvrit doucement les yeux et émergea tranquillement.
Des pas dans les escalier, Rha mais ils m'en veulent tous hein!
Avec du courage et de la volonté, il se leva de son lit et se faufila vers la porte.
Qu'est ce que ces ce bordel! Aussi bien dans la chambres que au rez de chaussé.

Qui diable ose troublé mon sommeil?

Mère en bas? Sa soeur en bas? et euh .. Qui ces lui d'abord!
Il en avait de la carrure, encore un voyageur qui a pommé son chemin.

Mère? Que ce passe t'il en bas? Un voyageur perdu?

Messages : 36 Date d'inscription : 08/04/2012

Quand j'entendis frapper à la porte, un sourire éclaira mon visage.
Mais avec la famille que j'avais, le soûper risquait d'être haut en couleurs!
Mais pour l'instant, Maman ne lui avait pas encore ouvert et j'en mourais d'impatience.
Puis, la voix de Mathéo se fit entendre.

Mathéo, descends et recoiffe toi un peu, tu as l'air d'un ours sortit de son hibernation! Viens!

J'attendis qu'il descende avant de lui mettre les cheveux en place, de correctement fermer sa chemise et de lui chuchoter au creux de l'oreille:

Mathéo, écoute, ce gars dehors, que tu prends pour un voyageur perdu, et bien c'est mon prétendant. Je l'ai invité à soûper pour vous le présenter alors ne dis rien de stupide sinon tu le regretteras!

Je regardai encore une fois mon frère et lui fit une bise sur la joue avant de prendre Mya dans mes bras.

Mais où sont Elvariand et Bbnem?

Enfin il était descendu de sa monture et enfin il frappa à la porte.
Mylandra se redressa enfin de sa fenêtre puis alla à l'entré.
Mathéo descendit à son tour, la tête encore dans le brouillard.
Un sourire sur les interrogations de ce dernier alors que sa sœur lui expliqua ce qui allait se passer.

Contrairement à sa fille, la brune était plutôt braie marron et chemise blanche, plus pratique lorsqu'on est militaire.
Ses cheveux bruns avaient l'air d'être lâché sur ses épaules mais une demi queue les retenait sur l'arrière de son crâne.
Quand enfin tout le monde fut assez prêt, Mylandra ouvrit la porte sur l'homme qui se tenait derrière.

Un sourire accueillant, cachant un regard inquisiteur.
Elle ne voulait pas l'effrayer, bien qu'elle lui donnait l'impression d'être un homme d'âge mûre.
Alors que Noéllia avait à peine 17 ans.

Bien le bonjour sir.
Entrez donc.

Elle lui laissa la place pour entrer, ouvrant plus largement la porte.

Il était patient, c'était une des valeurs qu'il avait compris chez les hospitaliers. N'en étant pas un certes, mais il avait appris cela : la patience. Une chose grande et importante si l'on veut réussir.

La porte s'ouvrit, il sourit à la dame qui lui ouvrit, qui était elle ? Mystère, du moins pour le moment...

Buon.. Bonjour Ma dame, Je suis Ezios Auditore-Corleone Da Firenze... dit-il de son accent italien bien prononcer.

Il la salua convenablement, puis entra à son invitation. Un regard qui parcourt brièvement les lieux. Ce n'est pas la richesse du château d'Ussé, mais c'est convivial. Parfaitement jouable, et accueillant. Espérons que ceux de cette famille ne le rejetterons pas.
Le regard se tourne vers la petite demoiselle, blonde, sa perle Saintaise. Il sourit, s'avançant délicatement vers elle au sont des "cling cling".
Ce bruit ? Quel est-il ? l'ensemble de maille qu'il porte en dessous... Bon d'accord, il avait quand même mis une côte de maille. Sait-on jamais, si l'on vient à l'attaquer, il aurait au moins quelque chose qui empêcherait une lame de lui couper la peau.

Se penchant, vers elle, il lui déposa délicatement un baiser sur la main, sans la toucher de ses lèvres, car dans un baise main, les lèvres ne doivent pas toucher la peau, juste l’effleurer.

Ravis d'enfin vous voir, ma demoiselle. sourit-il en se relevant.

Messages : 36 Date d'inscription : 08/04/2012

Lorsqu'il entra, je me levai.
Posant ma soeur près de moi, il me baisa la main.
J'en rosis un peu, souris.
Puis, lui rendant la "monnaie de sa pièce", je m'inclinai dans une salutations des plus respectueuses tout en chuchotant à son attention, et pour seul lui l'entende...

Posez-donc vos armes, on va croire que vous êtes hostile à la maison!

Je me relevai avec grâce.

C'est un plaisir de vous revoir, messire Ezios. Laissez-moi vous présenter ma famille, Mylandra, ma mère, Mathéo, mon jumeau, et Mya, ma soeur. Nous ne sommes pas encore tous réunis mais ils ne devraient plus trop tarder à arriver.

Joignant geste à la parole, je designai polimment les membres de ma famille.
Un instant, mes idées s'envolèrent vers notre première rencontre en taverne, et peu de temps après son arrivée à Saintes et notre rencontre, il avait été invité à ce soûper pour que je puisse le présenter à ceux qui partagaient ma vie.

Il sourit à son inclinaisons. Adroite, bien courbé, digne d'une dame. Du moins de ce qu'il pouvait en juger ! Il entendit son chuchotement et en sourit,

Bien... Je comprend. Murmura t-il.

Détachant sa ceinture ou trônait son épée et une dague, il la garda tout de même à la main. Ne sachant ou la mettre. Ne voulant pas troublé l'équilibre qui s'y trouvait !

C'est un plaisir partagé Noéllia. dit-il en affichant un sourire.

Parcourant les membres de sa familles du regard, il inclina la tête.

Enchanter de vous rencontrez, tous.

Sourire franc, puis restant immobile. Ne sachant pas trop quoi faire... Il n'est pas chez lui, et surtout n'ose pas trop dire quelque chose au cas ou ça viendrait à vexer quelqu'un, et que ça finisse par croiser le fer... M'enfin, évitons de penser de trop à cela, car sinon ça va arrivé. Donc pensons à quelques choses de joyeux. Tiens, Noéllia par exemple. Symbole de paix chez lui.

Mylandra le laissa entrer pour refermer la porte derrière lui.
Ne le quittant pas des yeux, elle se permit à le sonder.
A bien le regarder il avait les traits d'un homme qui avait vécu, connu sans doute plusieurs guerres.
Et qui devait se rapprocher de son âge, soit 25 - 30 ans.
Pourquoi fallait-il qu'elle trouve un homme qui aurait put être son père?

Mais bon, elle ne laissa rien paraitre de ses pensés puis sourit à l'homme alors que sa fille les présenta.

Bienvenu chez nous donc, ne restez pas dans l'entré et donnez moi vos armes et votre bouclier.
Je vais les mettre dans le coffre où mon fiancé et moi-même rangeons les notre.

Ben oui elle voyait bien que le pauvre ne savait pas quoi faire alors qu'il tenait sa ceinture dans ses mains.
Le dites coffre, bien gros et profond se trouvait sous un porte manteau.
Après qu'Ezios ait donné ses armes, elle l'ouvrit, laissant à vu deux épées et une seconde arbalète en plus de celle qui trônait au dessus de la cheminée.
Elle déposa correctement la ceinture dedans donc puis referma. Alors que le bouclier prit place dessus, faute de place.

Bien, dit-elle en se redressant. Allons nous installer, les garçons nous rejoindrons plus tard.

Mylandra invita donc Ezios à aller dans la salle principale, où se déroulera le repas.

Invité

Mathéo, descends et recoiffe toi un peu, tu as l'air d'un ours sortit de son hibernation! Viens!

Elle en a de bien bonne elle! On me réveille tss ..
Aussitôt dit, aussitôt en bas ..
Après un long sommeil, il avait des cheveux qui ressembler fort à une bataille d'entre partisan.
Noéllia profita de se cours moment pour le rhabiller et le recoiffé.

Mathéo, écoute, ce gars dehors, que tu prends pour un voyageur perdu, et bien c'est mon prétendant. Je l'ai invité à soûper pour vous le présenter alors ne dis rien de stupide sinon tu le regretteras!

Mathéo ouvrit l'oeil vers l'hommes postait devant lui.

Je suis sage comme une peinture de Merlin malin ..

Rha .. Un sourire franc ... Les Franc comtois lui?
Quelque minutes passèrent ..
Hein dans le salon déjà? Mais je vient de me lever, je vais pas mangé hein! J'suis pas une poule.. Ils en ont de bien bonne eux dès le matin.